Les gays vus par le septième art!!
Romance, Comédie, Fantastique, Drame, Aventure, Horreur, Fiction... et Queer!

vendredi, mars 24, 2006

Un año sin amor


Date de sortie : 19 Avril 2006
Réalisé par Anahi Berneri
Avec Juan Minujin, Mimi Arduh, Javier Van De Couter...
Film argentin.
Genre : Drame
Durée : 1h 35min.
Année de production : 2005
Interdit aux moins de 16 ans




Pablo est un jeune poète, mais aucun éditeur n'a encore accepté de le publier. Pour subvenir à ses besoins, il doit demander le soutien de sa famille. En quête d'amour, il se met à fréquenter un cercle "d'amateurs de cuir", adeptes du sado-masochisme.

La sexualité devient bientôt un moyen d'affirmer son individualité. Un an plus tard, Pablo a écrit des pages et des pages sur ses aventures sexuelles et sur le traitement qu'il suit pour combattre sa séropositivité.

9 Comments:

Anonymous Anonyme said...

C'est un premier film touchant réalisé par une jeune femme hétéro(!!!??) qui va s'intéresser à l'appréhension d'un jeune homme face au sida et aux nouvelles trithérapies. Pour exorciser ses peurs, il va alors s'adonner au sexe, au SM et à l'écriture. Bref c'est surprenant, attachant (de par les gros plans et la caméra d'épaule) et parfois drôle, en tout cas jamais glauque comme on pourrait le penser vu son sujet . Je l'ai déjà vu deux fois: à berlin et au festival gay et lesbien de paris. Sans aucun doute,un film à ne pas manquer et une réalisatrice à suivre de très près. Décidemment le cinéma argentin n'a pas fini de nous étonner.

3:44 PM

 
Anonymous Anonyme said...

UN ANO SIN AMOR est un étrange premier film argentin. Déroutant mais envoutant. Ce film est bardé de nombreux prix (justifiés) en festivals : Teddy Bear au Festival de Berlinal, Grand prix OutFest à Los Angeles, Grand Prix de la critique Internationale à Mar del Plata etc... Une mise en scène originale (mi-fiction - mi-documentaire), le film nous fait plonger dans le monde très particulier de Pablo, personne séropositive qui va s'adonner au Sadomasochisme. Mais au delà des images qui pourraient éventuellement heurter, le film nous parle avant tout d'une quête d'amour. UNA NO SIN AMOR est une vraie leçon sur la vie. On reste scotché sur son fauteuil par tant d'émotion. Ce film n'est pas sans rappeler le beau O FANTASMA, chef d'oeuvre absolu ! UN ANO SIN AMOR fera sans aucun doute couler beaucoup d'encre ! Un vrai coup de poing dans la figure ... Attention à ne manquer à aucun prix ...

3:44 PM

 
Anonymous Anonyme said...

Si l’on aime aussi le cinéma c’est pour les univers qui nous sont inconnus et que l’on découvre sur le grand écran. Un ano sin amor nous entraîne dans les soirées cuirs gay et présente une certaine violence. Mais derrière les coups de fouets et les diverses pratiques sado masochistes, on se surprend à croire et adhérer à cette histoire d’amour que le personnage central rêverait de voir naitre. Il ne s’agit pas là d’un film facile, encore moins d'un film joyeux mais l’expérience vaut largement le détour malgré une photographie assez cheap.

3:44 PM

 
Anonymous Anonyme said...

Un film dur, mais très beau. Filmé avec justesse, chaque scène est justifiée, même les plus difficiles...

3:44 PM

 
Anonymous Anonyme said...

Un film assez étrange où l'on suit ce jeune homme atteint du sida. Le film tourne au glauque parfois mais cela sans exagération. Un acteur principal qui sait parfaitement faire ressortir les émotions. Un film à voir...mais pas pour se détendre..

3:44 PM

 
Anonymous Anonyme said...

film rude, sans concession, et filmé de façon assez sèche, néanmoins interessant, et révélateur d'une vie gay, pour une fois éloignée du politiquement correct.

3:45 PM

 
Anonymous Anonyme said...

Les moments forts du film sont ceux ou le contact humain reprend le dessus : la découverte du SM, l'émotion forte que la pratique implique faisant oublier à son protagoniste qu'il est séropo...et puis un sentiment amoureux inattendu qui nait dans ce contexte étrange ...Voilà ce qui fait la force et la singularité de 'Un año sin amor'. Et puis cocorico aux bars cuirs du Marais qui seraient 'meilleurs que ceux de San Francisco'...l'auteur aura donc une étoile de plus pour avoir caressé dans le sens du poil le spectateur français et chauvin. Bizarrement dans ce film, la compassion étouffante ou l'indifférence crasse du personnel hospitalier semblent s'opposer à la relation libératrice des maitres et de leur esclave... Enfin, pour ce qui est du positif, chapeau à l'acteur principal qui n'inspire ni pitié ni mal-être, il a un petit truc en plus qui vient s'harmoniser avec un film pas si sombre et glauque que ça...une oeuvre plutôt culottée dans la démonstration d'un regain de vie dans les bas fonds des caves estampillées 'cuir véritable'. Malheureusement beaucoup de plans inutiles, trop de banalité quotidienne censée 'faire sens', trop de vide filmé dés lors que l'on quitte les lieux de perdition.... Etait-ce un contraste volontaire? Peut-être...mais l'auteur aurait du oser un film plus court...ou filmer la banalité autrement que de façon banale...terrible exercice, je le lui accorde.

3:45 PM

 
Anonymous Anonyme said...

Un film qui aurait pu nous toucher, si la réalisatrice ne s'ennuyait pas elle meme. La caméra est aléatoire et un rien trop voyeur. L'histoire un peu trop simple et sans grand intérèt filmée de cette facon. Dommage

3:45 PM

 
Anonymous Anonyme said...

Dans ce film, rien est dénoncé, tout est laissé comme un hasard ,construit par des plans pas toujours très utiles, un peu maladroits, qui réflète la banalité, opposé aux séquences Sm, qui sont dites pour etre des séquences Sm ( Point) Ce film est trop simple. La communauté gay a du remercier ce film en ce sens. Etant hétéro , je digererai ce film par un Temps qui Reste d' Ozon. Opposition complète par le geste technique et poétique du maître.

3:45 PM

 

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