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mardi, avril 11, 2006

L'Homme de sa vie


Date de sortie : 30 Août 2006
Réalisé par Zabou Breitman
Avec Bernard Campan, Charles Berling, Léa Drucker, ...
Film français.
Genre : Comédie dramatique
Année de production : 2006




La réalisatrice française Zabou Breitman retrouvera Bernard Campan pour son deuxième film. Après Se Souvenir Des Belles Choses, le comédien et la cinéaste s'apprêtent à travailler de nouveau ensemble, pour L'HOMME DE SA VIE. La réalisatrice a écrit le scénario, en collaboration avec Agnès De Sacy (Le Silence). Le film racontera l'histoire d'un homme qui tombe amoureux d'un autre homme. Charles Berling (Je Reste, Agents Secrets) incarnera l'un d'entre eux aux côtés de Bernard Campan. La comédienne Léa Drucker (Narco, Dans Tes Rêves) sera la femme de l'un d'eux.

Philippe Godeau (Pan Européenne) produira le film, co-produit par France 3 cinéma et Rhône Alpes Cinéma. Le tournage débutera en mai dans la région Rhône-Alpes.

>> Site officiel

27 Comments:

Anonymous Anonyme said...

tres beau film exelent jeu d'acteur ce film ne m'as pas laisser indiferent j'ai beaucoup aimer...

3:14 PM

 
Anonymous Anonyme said...

Je reste scotchée par le travail d'acteur de Campan... Il disait récemment "je n'arrive pas à retourner au comique"... et bien je n'ai qu'une seule chose à dire... NON n'y retourne pas... !!!! LOL

3:14 PM

 
Anonymous Anonyme said...

tres beau,remarquable interpretation et surtout le sujet est traite d une facon enfin normal,une belle histoire....

3:15 PM

 
Anonymous Anonyme said...

D'une subtilité qui dépasse toute norme cinématographique, ce film déchire l'écran par sa sensibilité, sa beauté, sa douceur, son intelligence, son naturel. Tous les personnages, sans exception, sont touchants et pénétrants, et ultranaturels. Ces réunions autour de la table, on ne peut qu'y croire à 100%. Des détails visuels qui marquent la grandeur de la Breitman et son âme profonde. On en sort renversé, bouleversé et surtout très ému. Tout passe dans le non-dit, dans ce montage pas chronologique et pourtant si intéressant. En plus, visuellement il est très beau. En bref, cest un film GENIALISSIME!!!

3:16 PM

 
Anonymous Anonyme said...

Ce film a du charme, le charme de ces acteurs de ces decors et de son rythme, c'est pour ca que j'ai passe un tres bon moment de detente et de reve. Ne pas chercher a compliquer des choses finalement simples. Pas de cliche pas d'extravagence, des sentiments, des sensations, de la douleur et du plaisir, peu de films savent faire tout ca !

3:16 PM

 
Anonymous Anonyme said...

Si vous avez du temps et de l'argent à perdre...ma femme s'est endormie au bout de 20 minutes, ronflant copieusement. Moi, j'espérais quelque chose, une petite réflexion au bout, rien. La pensée est creuse. Certains diront que le thème de l'homosexualité ne me touchent jamais? Faux, nous avons beaucoup aimé CRAZY. Mais là franchement, ce n'est pas parce qu'il est question d'homoséxualité que c'est bien. Avis aux intellos qui bénissent automatiquement les films sur ce thème : celui là dévoile leur partie pris systématique.

3:17 PM

 
Anonymous Anonyme said...

La mauvaise surprise de l'année! La réalisatrice, à force de vouloir soigner le visuel par ses plans fixes de paysages et son filmage de carreaux, donne un rendu cinématographique à mourir d'ennui et nous fait passer un très mauvais moment sur notre fauteuil. Le message que tente de nous transmettre Zabou Breitman n'est vraiment pas limpide, elle s'égard bien vite dans les méandres du scénario dont on oublie bien vite le thème principal (si encore il y en a un), en essayant de traiter plusieurs sujets à la fois. Ce film prétentieux et décousu manque profondément de sincérité et de naturel, et les acteurs voulant pourtant bien faire n'arrivent malheureusement pas à relever le niveau de cette mascarade.

3:17 PM

 
Anonymous Anonyme said...

Sans aucun doute plus mauvais film français de l'année. Dans L'HOMME DE SA VIE 2, Zabou projette de prendre Sim à la place de Bernard Campan. Aprés tout, il sera tout aussi crédible. Pour le reste esthétique des images à vomir, montage médiocre... À éviter d'urgence ! Zabou faut pas qu'elle fasse des films. Surtout pas.

3:17 PM

 
Anonymous Anonyme said...

Enorme déception de la part de Zabou Breitman, émerveillé par le sublime "Se souvenir des belles choses", ce film là ne me marquera pas, à part peut être par sa lourdeur , sa lenteur et ses effets pseudo-intellectuels jetés à la pelle... Je me suis terriblement ennuyé devant ce film et regrette d'avoir dépenser de l'argent pour voir ça!

3:17 PM

 
Anonymous Anonyme said...

J'ai adoré le premier film de Zabou Breitman, et j'aurais aimé que celui-ci me plaise aussi, malheureusement je me suis beaucoup ennuyée. La réalisation se prend beaucoup trop au sérieux. Et puis c'est lent, tellement lent, et à mon sens tout sauf crédible. Et le pire c'est que malgré de bons acteurs, les personnages sont super antipathiques et je n'ai pas eu envie une seconde de m'interresser à eux.

3:18 PM

 
Anonymous Anonyme said...

Je n'ai pas aimé le film... qui m'a semblé comme baclé ou non bouclé. Mais j'ai hâte de voir le prochain, car il y a en Zabou une vraie touche personnelle, une personnalité et une vraie identité de réalisatrice

3:18 PM

 
Anonymous Anonyme said...

"L'homme de sa vie" ou comment un titre racoleur réussi à nous duper ... Car Zabou Breitman nous présentait son film comme le bouleversement complet de la sexualité d'un homme alors qu'il a tout pour être heureux (femme, enfants, famille ...) Nous avons plutôt affaire en réalité à un timide échange intellectuel sur la manière d'aborder l'"Autre" du même sexe ... En somme une simple réflexion, un échange de point de vue sur le couple, la vie, l'amour ... mais on ne ressent pas vraiment de bouleversement complet chez le personnage de Bernard Campan ... En cela, le titre du film ne correspond pas à son contenu. De plus, Breitman fait sans cesse du va-et-vient entre la fameuse scène de l'échange entre berling et Campan et le reste du film, digne d'un épisode des "feux de l'amours" ! En revanche, de très belle image et une belle symbolique et métaphore servi par des parallèles intéressants mais quand même un peu trop nombreux ce qui a la facheuse tendance à alourdir et ralentir le film. Enfin, on ne pourra malheureusement pas echapper a quelques clichés faciles lorsque l'on traite ce genre de sujet ... Pour conclure, je dirais simplement que ceux qui s'attendent à un "Brokeback Mountain" à la française vont être décu, tant la réalisatrice est restée timide et ne fait qu'effleurer son sujet.

3:18 PM

 
Anonymous Anonyme said...

Endormant, répétitif, et j'en passe. Je ne sait pas comment exprimer comment je me suis ennuyé devant ce film... Mon 1er film "poubelle". Idées limites déplacées sur la fondation de l'amour, gros "blancs" après plusieurs répliques de Charles Berling, des "retours dans le passé" à plusieurs reprises montrant la même partie d'une nuit à plusieurs instants, tout cela sans grand interêt. Vous verrez Frédéric (Bernard Campan) et Frédérique (Léa Drucker) coucher ensemble un bon nombre de fois (certainement pour montrer leur amour mais on aurait pu s'en passer...), vous verrez des jeunes hommes nus, des chats noirs, des draps qui volent, des jeux de lumière... Le seul truc bien... L'intrigue (et globalement le scénario...) sont assez médiocres (mais je ne vous en dit pas plus...) Pour résumer, si vous avez deux heures a perdre, allez voir ce film, au moins pour pouvoir le critiquer. Sinon, n'y allez pas, ou vous risquez d'en revenir aussi mécontent que moi (quoique certains ont aimé...) J'ai eu beau chercher un charme à "L'Homme de sa vie", mais à part quelques effets cinématographiques, je cherche toujours.

3:24 PM

 
Anonymous Anonyme said...

Quelle déception ! On est perdu entre le rêve , la réalité les non dit les pseudos images psycho - intellectuelles. Le sujet laissé présager un film superbe, empli d'émotion alors que le résultat est dénué de charme et très lourd. Dommage !

3:39 PM

 
Anonymous Anonyme said...

Ah, si ce film avait été muet ! Plus de ces dialogues creux où l’on refait le monde avec des sentences définitives, de phrases originales comme: « On choisit ses amis, pas sa famille », de cours de morale léger comme le plomb contre l’homophobie. Plus de ces scènes de repas, interminables et cacophoniques, avec caquetage et babillage obligé. Uniquement de belles images : racines d’arbres tortueuses, homme nu nageant la brasse, ou endormi sur une plaque de verre, danseurs parfaits, lettres sur un mur (oublions le rideau...) : libre à nous d’interpréter, rien ne nous aurait été imposé. Mais Zabou Breitman se veut si démonstrative, prête des paroles si convenues à ses personnages, que l’on se désintéresse de ces archétypes taillés sur mesure pour véhiculer une thèse, jusqu’à nous infliger le cliché du beau-frère obèse et violeur. Mais si ce film avait été muet, nous laissant méditer sur les symboles, nous n’aurions pu être émus par le désespoir de Léa /Fred, dont le monologue halluciné, instinctif, nous prend aux tripes. Seul personnage qui respire la vérité, victime de ce qui défie la raison, elle erre, tentée par la mort, qui semble gagner même les scènes d’amour, si laides, si « techniques ». Ce qui noue les relations entre Frédéric et Hugo reste abstrait, éloigné. Et le déroulement haché de la scène- clef devant la maison ne permet pas de s’identifier à eux. Une scène traduit parfaitement le malentendu entre la réalisatrice et le spectateur : à l’hôpital ce qui est censé susciter la compassion devient ridicule, tellement l’attitude soudaine d’Hugo (réflexe d’égocentrique ou sursaut d’un homme qui se remémore avoir tenu des discours moralisateurs ?) provoque le recul. Je salue tout de même la délicatesse des sentiments mère-fils formant un cocon protecteur, et ce joli personnage d’enfant, qui instinctivement a tout compris.

3:39 PM

 
Anonymous Anonyme said...

Spécial. Je ne sais pas trop. Je me rapelle qu'à la sortie du film j'avais une impression bizarre. C'est quelque chose qui peut nous arriver un jour... Sinon les acteurs sont bons et l'histoire correcte. RAS

3:40 PM

 
Anonymous Anonyme said...

Sincère et bien joué, ce deuxième film de la réalisatice pêche par certaines maladresses stylistiques (les draps qui flottent au vent) et un onirisme appuyé mais un souffle romanesque passe par instants

3:40 PM

 
Anonymous Anonyme said...

L'homme de sa vie, c'est le Brokeback Mountain français : comme Ang Lee, Zabou Breitman opte pour un traitement tout en délicatesse, avec énormément de pudeur. Là où certains metteurs en scène se seraient contentés seulement d'un scénario bien écrit, Zabou Breitman signe une mise en scène extrêmement travaillée, soignant chacun de ses plans, quitte à créer un profond malaise. tant de perfectionnisme n'est peut-être pas franchement justifié. Evidemment, on ne lui reprochera pas de soigner son film à l'extrême, mais en regardant L'homme de sa vie, on ne peut s'empêcher de penser que Zabou en fait beaucoup trop. Le film tend d'ailleurs plus vers l'exercice de style que vers le film dramatique. Car, autre surprise, le scénario n'est pas aussi subtil qu'on l'attendait. Essayant d'éviter les stéréotypes, Zabou y tombe en plein dedans, et la relation entre Berling et Campan paraît assez banale, fade et peu intéressente. Consciente des petites faiblesses de son scénario, Zabou multiplie les allées et venues dans le temps, et là encore, ce n'était pas indispensable. Félicitons quand même la magnifique prestation de Léa Drucker qui nous touche beaucoup plus que le duo Campan-Berling

3:40 PM

 
Anonymous Anonyme said...

L'idée première du film est bonne (l'arrivée d'un nouveau voisin homosexuel, qui va boulverser la vie du paisible hameau) ; les réflexions, pas inintéressantes, bien qu'un peu stéréotypée. Ch. Berling joue très bien, mais on finit par s'ennuyer un peu devant ses discussions sans fin, ses courses à pieds sans retour, ce vent qui ne faiblit pas. Le film est tout en douceur dans sa réalisation pour contrecarrer une certaine violence de propos, mais le spectateur semble piégé. Piégé de ne pouvoir que voir et écouter sans participer. C'est un peu comme si on était invité à diner chez des personnes loquaces (pas bavardes !), sans parvenir à placer une seule phrase. Frustrant !

3:41 PM

 
Anonymous Anonyme said...

Le casting de Zabou Breitman est tout simplement splendide. Chaque rôle colle à la peau des acteurs. Ainsi, ce film dans la lignée de "se souvenir des belles choses" nous permet de passer un bon moment de cinéma.Le thème de l'homosexualité abordé dans le film est faite de manière très pudique, introvertie ce qui donne tout son charme à ce film. En revanche, je trouve qu'il manque de rythme à certains moments. En effet, le film traîne un peu en longueur.

3:41 PM

 
Anonymous Anonyme said...

Quand je lis un livre ou quand je vais au théâtre ou au cinéma, j'aime quand l'étrange capte mon attention.Ici, tout se passe dans une réalité concrète mais il y a ce courant d'air permanent dans le couloir d'entrée de la maison des principaux protagonistes.Il est comme l'annonce du changement;et il accompagne très bien ce qui arrive aux personnages.Avec un petit rien, cette histoire toute simple et belle (et magnifiquement jouée) se retrouve teintée de fantastique.

3:41 PM

 
Anonymous Anonyme said...

J'ai été très touchée par ce film, par sa sincérité, la justesse d'interprétation de ces acteurs : Berling et Campant y sont époustouflants. Bien sur si vous lisez la critique télérama, oui, on observe surtout au début quelques maladresses dans la mise en scène (quelques images assez clichés) mais cela ne nuit aucunement au film tant on est rapidement captivé par ces deux personnages.

3:42 PM

 
Anonymous Anonyme said...

Film interessant avec un sublime décor. On ne s'attend pas tout les jours à voir une personne tout boulversé dans sa vie bien remplie, c'est pourtant le thème de se film. C'est une histoire bien posée qui pousse chacun des personnages à se poser des questions.

3:42 PM

 
Anonymous Anonyme said...

J'avais peur de voir une nouvelle fois "se souvenir des belles choses".. mais non, c'est un vrai nouveau film, superbement chargé d'émotion et de gravité, d'une déjà grande réalisatrice.

3:42 PM

 
Anonymous Anonyme said...

Après "Se souvenir des belles choses" Zabou Breitman a encore frappé fort avec son 2ème long métrage, aidé par un très beau scénario et la lumière des paysages du midi. Charles Berling (Hugo) toujours à l'aise dans ses rôles ambiguës bien que dans celui ci il montre un peu de vulnérabilité (et c'est tant mieux), arrive à destabiliser l'harmonie peut être un peu trop banale d'un "gentil couple" magistralement interprété par Léa Drucker (Frédérique)ainsi que par l'excellent Bernard Campan (Frédéric). Ce film aborde avec beaucoup de délicatesse la confusion des sentiments, les choix, l'hétéro/homosexualité, le couple, la solitude (encore) et surtout les non-dits même ici dans ce milieu "bobos franchouillards". Très beau film

3:42 PM

 
Anonymous Anonyme said...

Des acteurs fabuleux! Un nouveau Zabou Breitman magnifique. Le montage du film avec fashblacks, nous laisse le temps d'imaginer toute une histoire entre deux hommes, mais aussi de nous poser beaucoup de questions sur le thème "c'est quoi l'amour?". Pour moi la réalisation et le scénario sont superbes. Comme quoi, il n'est pas necessaire de nous submerger par des dialogues interminables pour nous faire réfléchir sur le sujet de l'homosexualité.

3:45 PM

 
Anonymous Anonyme said...

'est un film humaniste et d'une grande beauté que nous offre ici Zabou! Tout est ici suggéré, au travers de plans se succèdant très rapidement et d'un jeu d'acteur très subtile et troublant. J'avoue avoir été surpris par la qualité et surtout l'originalité du montage, ce qui est de plus en plus rare de nos jours. La nature et la Beauté qui la caractérise est ici omniprésente et nous plonge dans un univers quasi-idyllique. Ainsi, la réalisatrice s'est-elle attachée à mettre en symbiose la beauté de l'environnement avec la beauté des corps masculins et féminins. Univers qui va de pair avec le sujet traité: l'expression "naturelle" des sentiments humains, la découverte de sa véritable "nature", de son véritable "moi". La BO constitue alors la cerise sur le gâteau en nous enivrant par sa volupté et sa mélancolie (on regrettera qu'elle ne fasse pas l'objet d'une sortie en cd). Du point de vue du fond, il s'agit certes d'un film qui parle d'homosexualité, d'homophobie, d'appel à la tolérance mais il va bien au-delà. On regrettera d'ailleurs à ce propos l'exploitation de quelques préjugés: non les homos ne sont pas tous des gentils, non les homos ne sont pas tous des célibataires endurcis et fières de l'être; non les hétéros ne sont pas tous des violeurs compulsifs... Au demeurant, il s'agit d'un film sur la liberté de vivre, la liberté d'aimer: Ne passe t'on pas trop de temps à rechercher la perfection, la sécurité ou du moins à la rêver? Qu'est-ce qui fait de nous des êtres "vivants" en attendant la mort? Faut-il passer son temps à essayer de plaire à nos Parents? Autant de questions auxquelles nos deux protagonistes tentent d'apporter quelques réponses et cela parfois bien malgré eux. La morale semble être alors que pour vivre mieux, il est important de laisser parler ses sentiments même si cela est susceptible de provoquer des dommages au sein de notre entourage. Au final, ce film fait du bien et semble être du genre à laisser un souvenir durable en mémoire.

3:45 PM

 

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